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    Dix conseils pour une année 2023 plus propre, plus verte (et plus efficiente)

    Dix conseils pour une année 2023 plus propre, plus verte (et plus efficiente)

    C’est l’heure des résolutions du Nouvel An. Selon une étude menée par Strava, un réseau social dédié à l’exercice physique, le deuxième vendredi de janvier est le jour où la plupart des personnes renoncent à leurs résolutions – cette année, la « Journée internationale du renoncement » tombait le vendredi 13. En tête des résolutions cette année figurent encore des classiques : faire plus d’exercice et manger plus sainement. Avec une inflation qui reste élevée et l’importance accrue du défi climatique, les enquêtes montrent qu’un nombre croissant de personnes prévoient également d’économiser et d’adopter des modes de vie plus respectueux de l’environnement en 2023. 

    La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des moyens simples de combiner ces objectifs, car la recherche montre qu’une alimentation et un mode de vie plus sains sont plus respectueux de l’environnement et permettent également de réduire les dépenses. Voici dix conseils pour une nouvelle année plus propre, plus verte et plus efficiente.

    De nombreuses grandes villes profitent de l’électrification pour tenter de mettre fin à la pollution atmosphérique locale

    1. Quatre roues, c’est bien, deux roues, c’est mieux

    Une révolution des transports est en marche. Plus de 130 ans après que l’Allemand Carl Benz a créé la toute première automobile à essence commercialisée – le Patent-Motorwagen – le moteur à combustion interne est en voie de disparition. Trente pays prévoient d’interdire la vente de nouvelles voitures à essence ou diesel d’ici à 2040, et de nombreux autres – dont la Chine, qui compte plus de véhicules à moteur que tout autre pays – se sont engagés publiquement à faire en sorte que les routes soient totalement exemptes d’émissions.

    Au Royaume-Uni, les ventes de véhicules électriques (VE)augmentent si rapidement que ces derniers ont désormais ravi la deuxième place de véhicule neuf le plus populaire aux véhicules diesel. Aux Pays-Bas, qui comptent plus de points de recharge de VE que tout autre pays, le gouvernement est en avance sur le calendrier pour atteindre un million de VE sur les routes d’ici 2025. Cette croissance est en train de changer le visage du marché automobile mondial – selon l’Agence internationale de l’énergie, les VE ont représenté près de 18% des ventes de voitures en 2022, six fois plus que leur part de marché par rapport à seulement deux ans auparavant1.

    De nombreuses grandes villes profitent de l’électrification pour tenter de mettre fin à la pollution atmosphérique locale. En plus d’encourager le passage aux VE, les municipalités se tournent vers les vélos et les trottinettes électriques, qui font partie du marché en pleine expansion des moyens de transport plus petits et plus propres. Le marché des vélos électriques, par exemple, devrait générer un revenu d’environ USD 53,5 milliards d’ici 2027. Une récente étude norvégienne a montré que l’attrait des vélos électriques se maintient dans la durée : sur une période de six mois, les personnes qui ont opté pour un vélo électrique ont quadruplé la distance totale parcourue à vélo et plus que doublé le nombre de trajets qu’elles ont choisi de faire à vélo2.

    Dans les pays développés, 60% des trajets sont inférieurs à 8 km, mais la grande majorité d’entre eux sont encore effectués en voiture – souvent pour ne transporter qu’une seule personne. En ce début d’année 2023, pensez à remplacer ces courts trajets en voiture par un vélo ou un vélo électrique. Vous économiserez ainsi sur vos frais de déplacement, tout en faisant de l’exercice et en réduisant les émissions.

    Lire aussi : Pédaler vers un avenir meilleur

    De tous les secteurs économiques, le secteur de l’agriculture, de l’alimentation et de l’utilisation des sols est celui qui transgresse le plus les limites de notre planète

    2. Plus de végétaux, moins de viande

    De tous les secteurs économiques, le secteur de l’agriculture, de l’alimentation et de l’utilisation des sols est celui qui transgresse le plus les limites de notre planète, c’est-à-dire les zones de sécurité environnementales que nous devons préserver pour garantir la stabilité de nos écosystèmes3. Une grande partie de cette responsabilité incombe à l’industrie de la viande et des produits laitiers, qui est l’une des principales responsables des émissions de gaz à effet de serre et l’une des grandes causes de la déforestation.

    En 2022, plus de 600’000 personnes se sont inscrites à la campagne Veganuary, s’engageant à « devenir végétalien » pendant le mois de janvier. L’énorme succès de Veganuary – la campagne a pris l’ampleur d’un mouvement international en seulement 8 ans, le nombre d’inscriptions ayant été multiplié par 60 – s’inscrit dans une tendance plus large. Les enquêtes montrent en effet un intérêt croissant pour la réduction de la consommation de viande au bénéfice de la santé planétaire et humaine.

    Des études de l’Université d’Oxford ont montré que ces avantages sont corrélés : les aliments les plus sains ont un impact environnemental plus faible et les aliments végétaux obtiennent de meilleurs résultats que la viande et les produits laitiers4.

    En 2018, la commission EAT-Lancet a estimé que pour nourrir durablement une population croissante, la consommation de viande rouge en Occident doit baisser de 75%. Cette commission recommande de consommer 98 grammes de viande rouge par personne et par semaine5, soit l’équivalent d’un hamburger, le reste devant être remplacé par une augmentation de près de 100% de la consommation de lentilles, de noix ou de haricots.

    Lire aussi : Eliminer les intermédiaires : le problème de la viande

    …en augmentant la diversité des aliments que nous consommons, nous pouvons inverser le cours des choses, tant pour la santé humaine que pour la stabilité des systèmes alimentaires

    3. La diversité au menu

    Le développement de la monoculture à grande échelle a permis d’augmenter de façon quasi miraculeuse le rendement des cultures et la productivité agricole. Dans le même temps, elle a eu un impact dévastateur sur la biodiversité et la santé des sols, et offre aujourd’hui des aliments de moins en moins sains. Au cours des 70 dernières années, la sélection de céréales et de légumes de plus grande taille et à croissance plus rapide, ainsi que la diminution de la diversité fongique dans le sol, ont fait perdre à certaines cultures jusqu’à 38% de leur contenu en nutriments6.

    L’agriculture industrielle a également réduit l’éventail des aliments que nous consommons. Sur 30’000 espèces de plantes comestibles, nous n’en cultivons que 170 à l’échelle commerciale, et trois seulement – le riz, le maïs et le blé – fournissent plus de 40% de nos calories quotidiennes7. Cette diminution de la diversité des cultures expose nos systèmes alimentaires à des risques accrus face aux nuisibles, aux catastrophes naturelles et au changement climatique.

    Les chercheurs de Kew Gardens ont découvert qu’en augmentant la diversité des aliments que nous consommons, nous pouvons inverser le cours des choses, tant pour la santé humaine que pour la stabilité des systèmes alimentaires8. En effet, les cultures non domestiquées offrent intrinsèquement une meilleure résistance aux conditions météorologiques imprévisibles, ne sont pas affectées par la perte de nutriments observée dans les cultures industrielles et permettent d’accroître la résilience d’écosystèmes entiers contre les nuisibles et les maladies.

    Cette année, découvrez l’akkoub, une plante originaire du bassin méditerranéen dont les fleurs se consomment comme un légume, ou le pandanus, un fruit ressemblant à un ananas qui pousse dans les zones côtières des îles du Pacifique jusqu’aux Philippines. Vous pouvez également ajouter des algues à votre assiette : déjà très répandue dans la cuisine asiatique, cette source de protéines riches en nutriments est de plus en plus recherchée en Europe9.

    Chaque plat a sa propre empreinte carbone : les émissions proviennent de la production et de l’utilisation d’engrais et de pesticides, de la dégradation des écosystèmes due à l’expansion de l’agriculture et des transports nécessaires pour acheminer les aliments de la ferme à la table

    4. Soutenir une agriculture régénératrice et à faible émission de CO2

    Chaque plat a sa propre empreinte carbone : les émissions proviennent de la production et de l’utilisation d’engrais et de pesticides, de la dégradation des écosystèmes due à l’expansion de l’agriculture et des transports nécessaires pour acheminer les aliments de la ferme à la table. Pour atteindre l’objectif de de l’Accord de Paris, l’empreinte carbone de chaque repas que nous prenons devrait être inférieure à 0,5 kg d’équivalents CO2. Pourtant, dans la plupart des pays occidentaux, nous dépassons ce chiffre plusieurs fois – en Suède, par exemple, l’empreinte moyenne par repas est de 1,7 kg de CO2e. La start-up Klimato propose aux entreprises et aux consommateurs des étiquettes indiquant les émissions associées à chaque ingrédient et à chaque repas.

    En attendant que les étiquettes de Klimato se généralisent, vous pouvez réduire vos émissions de CO2  liées à l’alimentation en soutenant les producteurs d’aliments à faible émission de carbone. Au Royaume-Uni, par exemple, l’approche innovante de ZeroCarbonFarms lui a permis d’obtenir la certification d’organisation à bilan carbone négatif, ce qui signifie qu’elle compense plus de carbone qu’elle n’en émet dans le cadre de ses cultures et des transports.

    Vous pouvez également rechercher les producteurs qui adoptent des pratiques agricoles régénératrices – telles que la diversification des cultures, les cultures de couverture, les semis direct et l’agroforesterie – qui permettent de réduire, voire d’éliminer, les besoins en engrais et en pesticides, de restaurer la santé des sols et de réduire l’impact environnemental de la production alimentaire.
     

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    Lire aussi : Le sol : super-héros oublié de l’alimentation

    Chaque année, environ un tiers de la production alimentaire est gaspillée

    5. Réduire le gaspillage alimentaire

    Chaque année, environ un tiers de la production alimentaire est gaspillée. Cette nourriture perdue est responsable à elle seule de 6% des émissions mondiales de gaz à effet de serre10. Ce gaspillage représente également un coût important pour le consommateur : aux Etats-Unis, une étude réalisée en 2020 a révélé que chaque ménage dépense en moyenne 1’866 dollars par an pour des aliments qui ne sont pas consommés11.

    Des applications telles que Phenix et TooGoodToGo ont exploité cet énorme marché potentiel en mettant en relation les consommateurs et les détaillants afin de sauver de la poubelle des aliments proches de la péremption. TooGoodToGo a déjà sauvé 19 millions de « paniers surprise » de nourriture qui auraient autrement été perdus, tandis que Phenix a permis à plus de 100 supermarchés de ne plus produire de déchets alimentaires.

    En plus de profiter des applications de récupération d’aliments, ces conseils simples peuvent vous aider à réduire le gaspillage alimentaire :

    • Vérifiez la température de votre réfrigérateur. Au Royaume-Uni, le Waste and Resources Action Programme (WRAP) estime que la plupart des réfrigérateurs domestiques sont réglés à au moins deux degrés trop chauds12, ce qui accélère la péremption des produits.
    • L’une des principales causes de gaspillage est l’incertitude quant à la taille des portions, notamment lors de la préparation d’aliments de base comme le riz ou les pâtes. Utilisez ce calculateur de portions de LoveFoodHateWaste pour ne plus avoir à deviner.
    • Lorsque vous faites vos courses, recherchez les produits anti-gaspillage, comme les fruits « moches » qui ont souvent l’avantage d’être moins chers.
    • Essayez de vous inscrire à une application d’échange de surplus de nourriture, comme Olio au Royaume-Uni, qui vous permettra de partager la nourriture dont vous n’avez pas besoin avec vos voisins.
    …avec un marché de l’occasion dont la croissance devrait dépasser celle du marché traditionnel de la mode au cours de la prochaine décennie13, les achats de seconde main en 2023 contribueront à modifier les modes de consommation et à accélérer la transition vers une industrie de la mode plus durable

    6. Restez branché grâce à la mode de seconde main

    Meilleur pour le portefeuille et la planète, le secteur de la mode de seconde main a gagné une énorme popularité ces dernières années. Des applications telles que Vinted, Depop et Vestiaire Collective ont mis la mode haut de gamme à la portée du consommateur moyen, tandis que des initiatives telles que les « espaces seconde main » qui se multiplient dans de nombreuses grandes enseignes de distribution françaises ont permis de généraliser cette tendance.

    Lire aussi : Les grands distributeurs entrent dans la révolution de la seconde main

    L’industrie de la mode est responsable de près de 10% des émissions mondiales de carbone, et contribue grandement aux flots de micro-plastiques qui se déversent chaque année dans les océans du monde entier. Mais avec un marché de l’occasion dont la croissance devrait dépasser celle du marché traditionnel de la mode au cours de la prochaine décennie14, les achats de seconde main en 2023 contribueront à modifier les modes de consommation et à accélérer la transition vers une industrie de la mode plus durable.

    Si la mode de seconde main a ouvert la voie, de nombreux autres secteurs suivent maintenant le mouvement, et il est désormais facile de se procurer toutes sortes de produits, des jouets pour enfants aux outils électriques, en dehors du commerce de détail traditionnel.

    Avec des solutions telles que la gamme de produits d’occasion haut de gamme de RealReal, la location de pair à pair via des plateformes telles que Fat Llama, les applications de « partage, d’emprunt et de don » telles que Olio, ou le marché florissant des produits électroniques reconditionnés qui s’est développé si rapidement que même Amazon y participe, les marchés d’occasion et de pair à pair fondés sur la technologie seront un élément central de l’essor d’une nouvelle économie durable.


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    Lire aussi : Pionniers de la circularité – l’avènement de l’économie du partage

    Cette année, tournez-vous vers les marques de vêtements qui produisent leurs fibres à partir de déchets ou qui fabriquent des vêtements issus de sources renouvelables et régénératives

    7. Vêtements fabriqués à partir de déchets

    L’essor de la mode de seconde main a été alimenté, en partie, par le désir croissant des consommateurs de concentrer leurs dépenses sur la soutenabilité. Tirant parti de cette tendance, les fabricants de vêtements responsables connaissent également une forte croissance. Patagonia, dont les tissus contiennent un minimum de 68% de matériaux recyclés, a vu son chiffre d’affaires quadrupler au cours des dix dernières années15, tandis que la marque espagnole Ecoalf a enregistré une solide croissance avec sa ligne de vêtements haut de gamme fabriqués à partir de matériaux 100% recyclés, notamment sa « fibre issue de l’océan » filée à partir de déchets plastiques récupérés dans les fonds marins.

    Cette année, tournez-vous vers les marques de vêtements qui produisent leurs fibres à partir de déchets ou qui fabriquent des vêtements issus de sources renouvelables et régénératives, comme Spinnova, une entreprise finlandaise qui confectionne des vêtements à bilan carbone négatif à partir de bois, ou les grands noms du Regenerative Fashion Manifesto, qui travaillent ensemble pour développer une industrie de la mode soutenable qui restaure la nature au lieu de l’exploiter.

    Lire aussi : L’arbre de vie : le moteur de la bioéconomie circulaire

    Heureusement, pour le consommateur sensibilisé au problème du plastique, la recharge – qui consiste à utiliser des bouteilles, des pots ou des flacons réutilisables pour acheter des produits sans emballage – est en train de se généraliser

    8. Refill it – réduire les plastiques à usage unique

    Quelque 380 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année, soit à peu près l’équivalent du poids de tous les êtres humains de la planète réunis. La moitié de cette production est constituée d’emballages à usage unique16. Certains, comme le million de bouteilles en plastique achetées dans le monde chaque minute17, peuvent être recyclés. Mais d’autres, comme les films qui protègent les légumes ou couvrent les repas achetés au magasin, n’ont pas encore de solution de recyclage et, après une brève utilisation unique, finissent dans des décharges, des incinérateurs ou rejoignent les plus de 8 millions de tonnes de déchets plastiques qui se déversent chaque année dans les océans18. Même dans les cas où le plastique peut être recyclé, le processus nécessite presque toujours la consommation de combustibles fossiles pour la fabrication de nouveaux produits.

    Heureusement, pour le consommateur sensibilisé au problème du plastique, la recharge – qui consiste à utiliser des bouteilles, des pots ou des flacons réutilisables pour acheter des produits sans emballage – est en train de se généraliser. L’option la plus répandue est sans doute Loop, la plateforme mondiale de réutilisation et de recharge qui s’est associée à de grandes marques de distribution en Europe et en Amérique du Nord pour installer des stations de recharge dans les supermarchés et proposer des recharges par livraison. Il y a aussi la société belge Ecover, qui propose des recharges en magasin pour les produits de nettoyage, et toute une série de magasins indépendants spécialisés dans les recharges qui fleurissent dans le monde entier, offrant des achats sans déchets et mettant la pression sur les grands distributeurs pour qu’ils lancent leurs propres options de recharge.

    …jusqu’à 10% de la consommation d’électricité d’un foyer est due à des « appareils vampires », c’est-à-dire des appareils qui continuent à consommer de l’énergie en mode veille ou même lorsqu’ils sont éteints

    9. Tuez les vampires

    Une étude de l’Agence internationale de l’énergie a révélé que jusqu’à 10% de la consommation d’électricité d’un foyer est due à des « appareils vampires »19, c’est-à-dire des appareils qui continuent à consommer de l’énergie en mode veille ou même lorsqu’ils sont éteints. Au Royaume-Uni, où les factures d’électricité ont atteint des niveaux record, le fournisseur d’énergie British Gas estime qu’en éliminant le gaspillage causé par les appareils vampires, un foyer moyen pourrait économiser près de 150 livres sterling sur sa facture d’électricité chaque année20.

    Pour réduire cette déperdition d’énergie vampirisée, débranchez les appareils de la prise murale – des appareils comme les grille-pain, les lave-linge, les sèche-linge, les téléviseurs, les micro-ondes et les chargeurs d’ordinateurs portables et de téléphones mobiles – plutôt que d’appuyer simplement sur l’interrupteur de l’appareil lui-même.

    Pour des solutions plus modernes au problème du gaspillage d’énergie, envisagez de vous joindre à la révolution des « maisons intelligentes ». Des applications telles que Hive ou Nest de Google utilisent la connectivité Internet pour proposer des fonctionnalités telles que des thermostats programmables et contrôlables à distance qui permettent d’éviter de chauffer inutilement la maison, des capteurs permettant d’éteindre automatiquement les lumières lorsque les pièces sont inoccupées, et des prises de courant pouvant être éteintes via une application pour s’assurer que les appareils n’ont pas été laissés sous tension.

    Les propriétaires de véhicules électriques pourront bientôt profiter de systèmes de charge intelligents qui rechargent automatiquement les VE aux heures creuses, moins chères, puis, lorsque le véhicule n’est pas utilisé, revendent de l’électricité au réseau aux heures de pointe, transformant ainsi les propriétaires de VE en producteurs-consommateurs, ce qui réduit les factures et augmente la résilience du réseau électrique.

    En cultivant vos propres produits, vous pouvez économiser de l’argent, éliminer les emballages et les kilomètres de transport, vous assurer que vos produits sont exempts de produits chimiques, garantir que seuls les aliments les plus frais arrivent dans votre assiette

    10. Cultivez votre propre jardin

    Enfin, pourquoi ne pas essayer de cultiver vos propres fruits et légumes ? Si vous n’avez pas de jardin, vous pouvez commencer par les cultiver en pots – piments, fines herbes, ail, et même carottes et tomates peuvent être cultivés en intérieur21.

    En cultivant vos propres produits, vous pouvez économiser de l’argent, éliminer les emballages et les kilomètres de transport, vous assurer que vos produits sont exempts de produits chimiques, garantir que seuls les aliments les plus frais arrivent dans votre assiette et, si vous cultivez dans votre jardin, contribuer à enrichir l’écosystème local d’insectes et de pollinisateurs. Des études ont également montré que le jardinage réduit le stress, peut améliorer la santé cardiaque et soulager des troubles tels que la dépression et l’anxiété.

     

    Soyez spécifique

    Cela fait plus de 2000 ans que nous prenons des résolutions pour le Nouvel An – la tradition remonte à la Rome antique . Et nous les brisons depuis tout aussi longtemps. 
    La clé pour réussir à tenir ses résolutions du Nouvel An est d’en faire des objectifs spécifiques et mesurables – par exemple, « Je me rendrai au travail à vélo deux fois par semaine » sera plus facile à tenir que « Je ferai plus de vélo ». 
    Cette année, pensez à adopter des résolutions avec des objectifs spécifiques, mesurables et réalisables qui sont bons pour votre santé, pour votre porte-monnaie et pour la planète.
     


     

    Global EV Outlook 2022 - Data product - IEA
    Do people who buy e-bikes cycle more? - ScienceDirect
    Systèmes alimentaires I Lombard Odier
    Estimating the environmental impacts of 57,000 food products | PNAS
    Commission EAT-Lancet, Brief for Everyone - EAT (eatforum.org)
    Fruits and vegetables are less nutritious than they used to be | National Geographic; Why modern food lost its nutrients (bbc.com)
    Autrefois négligées, ces cultures traditionnelles sont aujourd’hui nos nouvelles étoiles montantes | Histoires de la FAO | Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture
    State of the World’s Plants and Fungi 2020 (kew.org)
    The European market potential for seaweed or marine algae | CBI
    10 Food waste is responsible for 6% of global greenhouse gas emissions - Our World in Data
    11 The Shocking Amount Of Food U.S. Households Waste Every Year (forbes.com)
    12 Chill the Fridge Out | WRAP
    13 Secondhand clothing market set to be twice the size of fast fashion by 2030 (harpersbazaar.com)
    14 Secondhand clothing market set to be twice the size of fast fashion by 2030 (harpersbazaar.com)
    15 Patagonia, une marque de vêtements outdoor dotée d’une mission
    16 Plastic Pollution Facts | PlasticOceans.org/the-facts
    17 A million bottles a minute: world’s plastic binge ’as dangerous as climate change’ | Plastics | The Guardian
    18 New Study Shows Plastic in Oceans Is on the Rise (nationalgeographic.com)
    19 ThingsthatgoBlipintheNight.pdf (windows.net)
    20 Energy supplier counts cost of devices on standby - BBC News
    21 Easy Vegetables to Grow Indoors (thespruce.com)
    22 Ancient traditions: Why we make new year resolutions -- ScienceDaily

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