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L’intérêt croissant pour le Proche-Orient, tant parmi les gestionnaires de fortune que parmi les expatriés fortunés, n’est plus à démontrer. Toutefois, le processus n’est pas toujours sans heurts et des difficultés persistent.
Amer Malik, Senior Executive Officer Lombard Odier Middle East Ltd., rappelle à ceux qui s’intéressent à la région qu’« on ne peut pas généraliser quand il est question du Proche-Orient ». Chaque juridiction a ses propres caractéristiques.
Quand quelqu’un dit s’intéresser au Proche-Orient, il pense souvent aux Émirats arabes unis et à l’Arabie saoudite, qui « mènent la charge ».
En effet, dans le contexte de l’abandon progressif d’une économie axée sur le pétrole, leur gouvernement respectif tente proactivement d’attirer un plus grand nombre d’entreprises et de particuliers fortunés. En raison du style de vie attractif et des opportunités professionnelles que ces pays offrent, les particuliers choisissent désormais de s’y installer au lieu de n’y passer que deux ou trois ans dans le cadre d’un détachement professionnel, comme c’était le cas par le passé.
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Or, bien que de nombreuses personnes souhaitent séjourner plus longtemps dans ces juridictions, il n’est pas toujours facile pour les expatriés de transférer leur patrimoine au-delà des frontières. Il y a notamment la difficulté à trouver le gestionnaire de fortune adéquat, citée par 48% des personnes interrogées dans l’étude récemment menée par Lombard Odier sur les expatriés qui s’installent aux Émirats arabes unis.
Nombreux sont ceux qui ont du mal à trouver le gestionnaire de fortune adéquat, mais il existe néanmoins des solutions, surtout aux Émirats arabes unis. Plus de 400 gestionnaires de fortune et d’actifs sont enregistrés auprès du Dubai International Financial Centre (DIFC), le centre financier international de Dubaï, qui collectivement gèrent environ USD 700 milliards d’actifs.
Certaines entreprises sont quant à elles enregistrées auprès de l’Abu Dhabi Global Market (ADGM), équivalent du DIFC à Abou Dabi. Grâce à ces deux centres, les gestionnaires de fortune peuvent desservir l’ensemble de la région.
Le nombre de sociétés enregistrées dans ces centres prouve que le « suitcase banking » (pratique consistant pour les banquiers à faire des déplacements fréquents pour rencontrer leurs clients plutôt que de maintenir une présence locale permanente1) ne fonctionne plus. « Les clients veulent être proches de leurs conseillers », affirme M. Malik.
Compte tenu de la demande accrue, l’Arabie saoudite crée actuellement son propre centre financier international. M. Malik souligne qu’il « faudra du temps » avant qu’il ne soit bien établi, mais estime qu’il rencontrera un vif succès vu la demande.
Ces centres financiers internationaux sont importants pour les régions, qui ont besoin « de stabilité et d’un cadre réglementaire solide pour attirer les entreprises ».
La pratique du « suitcase banking » ne fonctionne plus. Les clients veulent être proches de leurs conseillers
S’agissant du droit et de la réglementation sur la fiscalité personnelle, les expatriés ne sont pas encore certains de bien comprendre leurs obligations.
En effet, selon une étude menée par Lombard Odier, les expatriés doivent approfondir leurs connaissances : seuls 27% d’entre eux affirment « très bien connaître » les incidences fiscales des actifs qu’ils détiennent en dehors des Émirats arabes unis.
Par ailleurs, les expatriés sont nombreux (61%) à ne pas encore avoir pris de dispositions fiscales ou successorales pour leurs enfants à l’étranger, ce qui laisse présager un vif intérêt pour les solutions de transmission de patrimoine fiscalement avantageuses.
De plus, seuls 25% des familles concernées ont établi une structure de planification successorale. Cette situation est particulièrement inquiétante, sachant qu’un transfert de richesse intergénérationnel de USD 1’000 milliards devrait intervenir au Proche-Orient dans les années à venir.
Pour cette raison, même si l’investissement sera toujours une facette importante des services que nous fournissons à nos clients, la structuration et la planification patrimoniales sont une priorité pour Lombard Odier.
notre expertise.
notre expertise en gestion de patrimoine et banque privée au moyen-orient.
Les expatriés « ne sont pas suffisamment informés » sur les actifs étrangers, selon M. Malik, qui suggère que cela est dû en partie à une sous-estimation du temps qu’ils passeront dans la juridiction concernée et, en conséquence, de la structuration requise.
S’agissant de la planification successorale et patrimoniale, les créateurs de richesse de la première génération sont parfois les plus difficiles à convaincre.
Seuls 30% du patrimoine sont transférés de façon efficiente de la première à la deuxième génération d’une famille. Ce chiffre diminue à 12% entre la deuxième et la troisième génération
M. Malik observe que, si le sujet est soulevé lors d’une conversation, les personnes concernées disent souvent « si je meurs » plutôt que « quand je mourrai ». Elles ne veulent généralement pas penser à leur propre mortalité.
Les statistiques peuvent être utiles à cet égard. L’une d’entre elles est particulièrement pertinente selon M. Malik : seuls 30% du patrimoine sont transférés de façon efficiente de la première à la deuxième génération d’une famille. Ce chiffre diminue à 12% entre la deuxième et la troisième génération.
Une fois que les familles ont compris les risques qui menacent leur patrimoine, elles sont souvent plus disposées à envisager leur planification successorale.
M. Malik précise que « les membres de la famille doivent se parler, mais il est judicieux de passer par un conseiller impartial qui pourra guider ces discussions et veiller à ce qu’elles soient productives.
Un indicateur clé de succès pour Lombard Odier est d’avoir été mis en contact avec la prochaine génération d’une famille fortunée. Si c’est le cas, cela suggère que la Maison a bien fait son travail.
Les membres de la famille doivent se parler, mais il est judicieux de passer par un conseiller impartial qui pourra guider ces discussions et veiller à ce qu’elles soient productives
En matière de soutien aux particuliers fortunés et à leurs familles, les Émirats arabes unis offrent de nombreuses opportunités, qui devraient se multiplier à l’avenir.
« Aux Émirats arabes unis, le segment présentant la plus forte croissance est celui des expatriés », souligne M. Malik. Et il ne s’agit plus seulement des dirigeants d’entreprise. De plus en plus, les personnes concernées par un événement de liquidité choisissent de s’installer dans la région, non seulement pour le style de vie qu’elle leur offre mais aussi afin d’optimiser leurs engagements fiscaux.
Cette migration est « sans précédent », estime-t-il, observant que l’accélération de cette tendance semble destinée à perdurer dans un avenir proche.
Le présent document de marketing a été préparé par Banque Lombard Odier & Cie SA (ci-après « Lombard Odier »).
Il n’est pas destiné à être distribué, publié ou utilisé dans une juridiction où une telle distribution, publication ou utilisation serait interdite, et ne s’adresse pas aux personnes ou entités auxquelles il serait illégal d’adresser un tel document de marketing. En savoir plus.
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