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    Aujourd’hui, le CERN nous aide à construire un avenir meilleur

    Aujourd’hui, le CERN nous aide à construire un avenir meilleur

    Lombard Odier est très fière de s’associer une nouvelle fois avec la Fondation CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) & Société dans le cadre du programme de bourse doctorale ATLAS, qui soutient financièrement des doctorants dans leurs recherches en physique des particules. Lors de la dernière série de distinctions le 27 mars dernier, trois scientifiques talentueux se sont vu octroyer une bourse pour poursuivre leurs études.

    Dans un monde en constante évolution, « nous nous efforçons de transmettre à la prochaine génération, de repenser et d’innover pour pérenniser notre avenir », a commenté Alexandre Zeller, Associé-gérant de Lombard Odier.

    Les heureux bénéficiaires

    Cette année, Albert Kong et Prajita Bhattarai ont été les lauréats soutenus par Lombard Odier.

    Albert Kong, de l’Université d’Adélaïde en Australie, participe à l’étude de la production de la particule élémentaire la plus lourde, le « quark top ».

    « Entreprendre un projet de doctorat avec le CERN et l’expérience ATLAS est pour moi l’aboutissement d’environ 18 ans d’études. Lorsque je me suis lancé la première fois avec le vague but d’apporter de grandes contributions à la physique, jamais je n’aurais pensé que j’aurais la chance de prendre part à une collaboration aussi importante et prestigieuse qu’ATLAS. C’est l’opportunité que je recherchais pour avoir un impact durable, et j’ai l’intention d’en tirer le meilleur parti », a-t-il expliqué.

    Prajita Bhattarai, de l’Université Brandeis aux Etats-Unis, étudie le phénomène par lequel le boson de Higgs se décompose en quatre leptons ainsi que d’autres particules modèles standard qui se décomposent dans les mêmes états finaux. Elle recherche également des divergences par rapport aux attentes théoriques.

    « Mon but est d’apprendre autant que possible des experts du domaine sur les recherches d’avant-garde effectuées au CERN. Je suis ici pour acquérir des connaissances en physique des particules et mieux comprendre ce domaine. Je souhaite également développer mes compétences analytiques, informatiques et interpersonnelles au CERN », a-t-elle déclaré.

    « A plus petite échelle, j’espère partager mes connaissances, mes compétences et mon amour de la physique avec de plus jeunes étudiants. J’aimerais tout particulièrement partager mon expérience du CERN et de l’enseignement supérieur avec la jeune génération de femmes – en particulier celles des pays en développement – pour les motiver à faire carrière dans le domaine de la physique et des sciences en général. Je forme actuellement ma première étudiante de premier cycle à la recherche expérimentale en physique des particules. Cette expérience enrichissante me donne envie d’en faire plus dans l’enseignement et la vulgarisation pour favoriser la sensibilisation et la curiosité pour la science. »

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    Banque et technologie sont liées

    L’imbrication entre le secteur bancaire et la technologie n’a jamais atteint un seuil aussi critique. Arash Sorouchyari, Head of Technology Platfom Strategy & Design chez Lombard Odier, a expliqué comment des technologies telles que l’intelligence artificielle (IA) peuvent offrir des opportunités aux banques privées.

    « L’idée n’est pas de découvrir un jour que votre banquier a été remplacé par un très beau robot. L’idée est de donner plus de prérogatives à nos collaborateurs : ils disposent de plus d’informations et de temps car certaines des tâches répétitives qu’ils doivent effectuer sont supprimées », a-t-il expliqué.

    « Grâce à l’IA, nous pouvons nous appuyer sur des agents hautement spécialisés capables de traiter un volume très important de données, ingérables par des êtres humains », a déclaré M. Sorouchyari. Ces agents peuvent par exemple identifier des schémas et des signaux intéressants en combinant un très grand nombre de sources d’information. Des signaux que des spécialistes de l’investissement et les banquiers peuvent utiliser comme source d’information supplémentaire pour prendre des décisions.

    L’idée est de donner plus de prérogatives à nos collaborateurs : ils disposent de plus d’informations et de temps car certaines des tâches répétitives qu’ils doivent effectuer sont supprimées.

    Un avenir prudent

    Selon Mario Di Castro, du CERN, les robots peuvent être employés dans l’industrie manufacturière, la production alimentaire, la construction et la production de biens pour surmonter les effets négatifs des tendances de fond, telles que le vieillissement de la population, le changement climatique et l’urbanisation. Mais si l’emploi de robots recèle un grand potentiel, les difficultés n’en demeurent pas moins nombreuses.

    « Lombard Odier s’appuie sur des démarches novatrices collectives pour offrir de nouvelles perspectives – et le CERN est une source d’inspiration majeure », a déclaré Alexandre Zeller, en conclusion.

    « Si elle est employée à bon escient en tenant compte des aspects éthiques fondamentaux, la recherche et développement en matière de robotique et d’intelligence artificielle pourrait avoir un impact positif sur notre société en augmentant la sécurité des personnes et en atténuant les effets négatifs des tendances de fond », a déclaré M. Di Castro.

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