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    Rencontre avec le nouveau responsable du bureau de Paris

    Rencontre avec le nouveau responsable du bureau de Paris

    Notre bureau de Paris célèbre ses 20 ans cette année. L’occasion de rencontrer son nouveau responsable depuis le 1er juin, Edouard de Saint-Pierre, et de faire le point sur les perspectives d’avenir.

     

    Vous prenez la direction du bureau de Paris après avoir mené les équipes de gestion de projet, de transformation digitale et de « business engagement » au siège de Genève. Qu’emportez-vous dans vos valises et quels sont vos objectifs ?

    Quand je suis arrivé chez Lombard Odier en 2018, je me souviens du projet qui m’a été confié sur le « Front Office Efficiency ». Avec la complexité croissante des métiers du Front Office ces dernières années, qu’elle soit administrative ou réglementaire, nos banquiers passaient entre 30% et 50% de leur temps à réaliser des tâches qui n’étaient pas directement liées au service de nos clients. En repensant l’organisation, en simplifiant les processus les plus chronophages et en digitalisant, nous avons pu libérer de leur temps pour qu’il puissent se consacrer à leur objectif principal : servir leurs clients et offrir toute la valeur ajoutée qu’ils attendent.
    C’est avec cela en tête que je vais poser mes valises à Paris.  Je considère qu’une de mes principales missions en tant que responsable local est d’épauler les banquières et banquiers, pour que nous puissions ensemble réaliser avec succès les ambitions pour ce marché stratégique en Europe. Je me réjouis également de rencontrer la clientèle française et d’être ambassadeur de notre vision stratégique, pour continuer à faire évoluer le succès commercial du bureau et nous adapter aux évolutions des besoins de nos clients.

    Je me réjouis également de rencontrer la clientèle française et d’être ambassadeur de notre vision stratégique, pour continuer à faire évoluer le succès commercial du bureau et nous adapter aux évolutions des besoins de nos clients

    Quelle est votre première priorité en arrivant à Paris ?

    Ma première priorité est d’aller au contact des équipes parisiennes pour apprendre à les connaître et comprendre leurs vues sur la marche des affaires et la clientèle. Nous sortons d’une période éprouvante liée à la pandémie ; je me réjouis donc infiniment d’accueillir l’équipe au bureau, au fur et à mesure de l’évolution de la situation sanitaire.

     

    Le bureau de Paris vient de remporter le prix de « Meilleure banque privée spécialisée », remis par Leaders League. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

    Je suis très heureux de cette reconnaissance car nous avons d’excellentes équipes réunies à Paris et une combinaison d’expertises de haut niveau, qu’il s’agisse des banquières et banquiers, des spécialistes de l’investissement ou des ingénieurs patrimoniaux.

    La France est clairement un marché stratégique pour Lombard Odier : résolument entrepreneurial, dynamique et tourné vers l’avenir. Nos équipes parisiennes reflètent cet état d’esprit avec une ouverture sur les enjeux de notre époque, la durabilité, l’innovation et les nouvelles générations. Nous y avons d’ailleurs déployé notre programme interne des « associate bankers », qui permet à nos jeunes talents d’accéder aux métiers de la banque privée en se formant auprès des seniors expérimentés.

    La France est clairement un marché stratégique pour Lombard Odier : résolument entrepreneurial, dynamique et tourné vers l’avenir

    Vous avez la double nationalité franco-suisse. Quels sont vos liens avec la France ?

    Mes liens avec la France sont assez forts, d’un point de vue personnel, familial et culturel. Ma mère est Genevoise et mon père est Breton, d’où ma double nationalité. J’ai ainsi passé toutes mes vacances d’été sous le soleil radieux de Bretagne, chez mes grands-parents ! Je me réjouis donc de m’installer à Paris avec ma famille et d’y retrouver cousins et amis.

     

    Avant de rejoindre Lombard Odier en 2018, vous aviez participé à l’ouverture de nouveaux bureaux pour d’autres banques privées en Amérique Latine, au Royaume-Uni et au Moyen Orient. Cette expérience vous sera-t-elle utile en France ? 

    Oui certainement. J’ai pu expérimenter à plusieurs reprises dans ces différentes régions l’importance primordiale de comprendre les besoins spécifiques des clients locaux, mais aussi leurs attentes, leur culture et leurs habitudes. On apprend assez rapidement que répliquer des concepts génériques ne fonctionne pas. Il faut savoir être agile et s’adapter à chaque environnement.
    Il est tout aussi important de se créer un réseau local avec les professions libérales avec qui nous interagissons régulièrement, les associations professionnelles et avec nos concurrents, pour bien appréhender les évolutions du marché et servir au mieux nos clients

     

    Le marché de la gestion de fortune en France se partage entre les unités de gestion privée de grandes banques universelles, de nombreux conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI), et une montée en puissance des family office… comment se démarquer dans cet environnement?

    La France est certainement un marché très dynamique. Pour preuve, plusieurs grandes enseignes de gestion américaines et britanniques ont annoncé un retour à Paris ces derniers mois. Dans cet environnement, je pense que nous pouvons faire la différence sur plusieurs points. Tout d’abord grâce à la qualité de nos équipes, qui offrent à nos clients un service sur mesure de gestion de patrimoine depuis plus de 20 ans localement. Il y a également notre héritage et notre indépendance, en tant qu’une des plus anciennes banques privées suisses de tradition familiale. Enfin, notre stabilité, puisque nous sommes l’une des banques les mieux capitalisées en Europe.

    …notre fort investissement et « thought leadership » sur les sujets de l’investissement durable et de la technologie est un fort pouvoir d’appel quand on s’adresse à la clientèle française

    De plus, notre fort investissement et « thought leadership » sur les sujets de l’investissement durable et de la technologie est un fort pouvoir d’appel quand on s’adresse à la clientèle française. Deux engagements concrets qui illustrent cette conviction : notre partenariat depuis 2016 avec France Digitale, 1ère communauté du secteur du numérique en France, et notre label B Corp qui valide notre engagement à promouvoir les investissements qui aident à la transition vers un modèle économique durable.

     

    Comment voyez-vous l’avenir de la gestion de fortune face à l’influence croissante des fintech et autres néo-banques auprès des jeunes générations?

    C’est un sujet passionnant. La technologie est naturellement l’un des piliers de notre industrie et de Lombard Odier en particulier, qui a décidé de mettre à disposition sa propre plateforme bancaire pour d’autres établissements bancaires. L’émergence de ces nouveaux acteurs est symptomatique de l’évolution des besoins et attentes de nos clients qui sont en quête d’instantanéité, de mobilité, de proximité, de transparence et de performance. Ceci ne se limite d’ailleurs pas aux jeunes générations. La pandémie a confirmé cette importance de la technologie et de la digitalisation dans les interactions avec nos clients, quel que soit leur âge.

    De fait, ces nouveaux entrants changent certains paradigmes de notre industrie et exigent que nous continuions à nous réinventer sur deux axes : d’une part, apporter de l’efficience et de nouveaux services en digitalisant les étapes clés du cycle de vie du client, d’autre part nous différencier de ces acteurs avec une expertise et une offre de services et de conseils à forte valeur ajoutée pour nos clients.

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    Le présent document de marketing a été préparé par Banque Lombard Odier & Cie SA ou une entité du Groupe (ci-après « Lombard Odier »). Il n’est pas destiné à être distribué, publié ou utilisé dans une juridiction où une telle distribution, publication ou utilisation serait interdite, et ne s’adresse pas aux personnes ou entités auxquelles il serait illégal d’adresser un tel document.

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